Du désert au dessin. Du vide au marteau.
C’est à Metz que je joue avec les couleurs
pour m’évader et colorer un peu la grisaille.

Après une formation de graphiste puis de muséographe, des missions à droite à gauche, j’ai perdu la flamme créative pendant des années. Devenir prof, stimuler l’imagination des élèves m’a fait la retrouver. Peu à peu, je m’éloigne du désert pour revenir à la civilisation. Retrouver mes sensations, retrouver du plaisir à créer et puis à le partager.
(c’est faux, je déteste partager quoi que ce soit sur moi).
Fini le lance pierre, bonjour les projets au coup de cœur.

Produire quand on peut, quand on veut pour ne plus jamais perdre cette part de moi qui m’avait tant manqué.
Et si au passage vous voulez vous joindre à l’aventure, embarquez ! Je vous emmène dans le grand huit
émotionnel de ma petite tête.

Pourquoi ce nom ?

Parce qu’on me donne du madame tous les jours et que ça m’a longtemps perturbé. Et marteau, parce que je le manie comme personne et que bon, pourquoi être saine d’esprit quand on peut être complètement marteau ?